Une entreprise québécoise transforme une mauvaise herbe en soie


Des entrepreneurs québécois ont décidé de mettre ce super matériau à profit. Ils ont confectionné des articles de plein air qui seront testés par des alpinistes sur le mont Washington, aux États-Unis, puis sur l’Everest, la plus haute montagne au monde.
Autre usage possible : la fibre d’asclépiade absorbe très bien le pétrole. Elle pourrait servir à nettoyer les eaux polluées par des déversements.
Comme plusieurs compagnies s’intéressent maintenant à la soie d’asclépiade, des agriculteurs québécois ont commencé à cultiver cette plante. Pas mal pour une mauvaise herbe !
Un régal pour les monarques
L’asclépiade est essentielle aux papillons monarques qui s’en nourrissent.
Découverte : Très utiles, les plantes !
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