À la recherche du porc-épic
Le printemps est une bonne saison pour observer le porc-épic. Avec un peu de chance, tu en verras un au bord d’une route ou dans un arbre.
Ouvre l’oeil ! Tu pourrais trouver des indices de son passage :
des tas de crottes sur le sol et de l’écorce rongée sur les arbres. Le porc-épic gruge des os et les bois de chevreuils ou d’orignaux qu’il trouve au sol. Cela l’aide à garder ses dents bien aiguisées.
Bébé printanier
Au printemps, la femelle a généralement un seul bébé. Il est couvert de poils et de piquants mous. Les piquants durcissent au bout de quelques heures.
Un menu varié !
En hiver, le porc-épic se nourrit d’écorce et d’aiguilles de conifères. Au printemps, il part à la recherche de bourgeons. L’été, il mange aussi des pissenlits, du trèfle, des violettes ou des framboisiers. Les dents du porc-épic sont recouvertes d’une substance très dure de couleur orange. Ainsi, il ronge le bois sans effort.
Qui s’y frotte s’y pique !
Les piquants du porc-épic sont cachés sous ses poils. Il en possède plus de 30 000, répartis sur sa tête, son cou, son dos et sa queue. Certains mesurent 12 cm de long !
Si le porc-épic se sent menacé, il tourne le dos à son ennemi et redresse ses piquants. Et si l’intrus ne s’enfuit pas, le porc-épic le frappe avec sa queue. Des piquants se plantent alors dans la chair du prédateur.
Fais ce quiz pour savoir si tu connais bien le porc-épic.
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